Les deux jours de grève générale lundi et mardi ont fortement paralysé les activités dans les principales villes du pays. Les écoles, l’administration publique, les entreprises privées sont restées fermées à Port-au-Prince, au Cap-Haïtien, aux Cayes, à Miragâone et dans d’autres villes du pays. Les correspondants de plusieurs médias de la capitale ont signalé des obstructions d’artères stratégiques, des jets de pierres, de bouteilles et des coups de feu un peu partout à travers le pays. La colère, observée lors des manifestations du 18 novem
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous