À animer des ateliers à Port-au-Prince et dans d’autres villes du pays, à participer à de multiples événements culturels, en me faisant tout simplement un devoir d’observer et d’écouter, le triste constat de l’alternative que ce pays laisse aux jeunes d’origine modeste est de se transformer qui en salaud qui en héros.
Petite-bourgeoisie opprimée, classes moyennes défavorisées, peu importe la dénomination choisie, chez ceux pour qui la reproduction sociale n’est pas assurée et qui possèdent un minimum de savoir académique et de culture
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