Le président Jovenel Moïse, au pied du mur, ne s’est toujours pas prononcé sur les recommandations du Conseil supérieur des salaires qu'il a reçues depuis le 7 juillet. Le chef de l’État, après être passé en force pour monter ce CSS incomplet de huit membres, a levé le pied sur l’accélérateur. Il a multiplié les rencontres pour trouver une issue à la crise avec des leaders syndicaux dont les appels à manifester pour obtenir 800 gourdes comme salaire minimum vident les usines, retardent la livraison des commandes dans le secteur de la sous-trait
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