Extrait du livre :
«Les jours passent. La misère du peuple augmente. À chacun son lot. Notre égoïsme devient règle de vie. Nous nous enfonçons de plus en plus dans la lâcheté et la résignation. Me voilà plus que jamais amoureuse du mari de ma soeur et je ne veux penser à rien d'autre qu'à cet amour. Il devient mon refuge, ma consolation. Félicia est de nouveau si sûre d'elle, si confiante en son homme qu'elle a embrassé Annette ce matin pour son anniversaire. Ils lui ont offert du parfum et de la poudre de riz. «Couvre-toi de parfum et de po
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