La maison aux murs rouges n’a pas vraiment changé. Dix ans que je n’y avait pas remis les pieds. Elle a gardé son charme particulier. Avec ses dizaines de tableaux, ses pilonnes colorés de peintures vives et ses murs tagués de pensées énigmatiques, elle est restée figée dans le temps. La seule différence aujourd’hui, c’est que Frankétienne n’y vit plus. Cette fois, le fils de Ravine Sèche ne m’accueille pas la main tendue,
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