Au-delà de la décision de l’Eglise catholique d’observer un arrêt de travail le jeudi 15 avril pour exiger la libération des sept religieux, c’est tout le secteur privé des affaires en Haïti et le secteur scolaire qui ont répondu à l’appel de l’Eglise. A Port-au-Prince et dans la plupart des villes de province, toutes les activités économiques, scolaires fonctionnaient au ralenti ainsi que les transports en commun, ce qui a eu des conséquences sur le fonctionnement des activités dans la fonction publique.
Des messes ont été
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