Cette semaine, les avocats haïtiens ont été fouiller au fond de leur malle, dans leur bibliothèque, dans leurs documents les plus anciens pour trouver dans le code pénal haïtien l’application de la « résidence surveillée ». Un devoir de maison que leur a imposé le juge d’instruction Lamarre Bélizaire à la suite de cette ordonnance prise contre l’ex-président Jean-Bertrand Aristide consistant à le placer en résidence surveillée. Une notion juridique du genre « papa introuvable ». Les avocats haïtiens interrogés sur le dossier s’envolent jusqu’e
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