Quand on croise Syto, c’est, d’emblée, son calme, sa sérénité qui impressionnent.
(2e et dernière partie)
Un livre d’une mince épaisseur [(92 pages) Grasset, 2006], donc un court récit, mais au bout de la lecture duquel est cerné le courant néo-conservateur aux États-Unis d’Amérique.