(2e et dernière partie)
Un livre d’une mince épaisseur [(92 pages) Grasset, 2006], donc un court récit, mais au bout de la lecture duquel est cerné le courant néo-conservateur aux États-Unis d’Amérique. Dans la 1ère partie « Les racines du néo-conservatisme », l’auteur fait remonter le lecteur, la lectrice aux origines de ce courant intellectuel fondé par Kristol, Bell et Blazer. On revisite les avancées de ce cheminement intellectuel depuis le City College en passant par la revue The Public Interest pour aboutir à