« La douleur de l\'étreinte », le premier recueil de poèmes de Makenzy Orcel, à en témoigner par son titre, donne au lecteur équipé de son ballot de préjugés, tant s\'en faut, une forte impression de « déjà-lu ». En l\'occurrence, l\'élan d\'un homme vers une femme, de l\'un vers l\'autre, ou l\'inverse. Et d\'emblée, il opterait pour l\'une ou l\'autre attitude : déchirer la plaquette avant de la brûler ou s\'en approprier pour la lire avec délectation.
Ici, seulement la deuxième attitude est de mise. Car, au-delà de l\'étiquette du « produ