Un climat de gêne règne autour de la sélection nationale haïtienne de football quarante-huit-heures après le départ officiel de son sélectionneur cubain, Luis Armelio Garcia.
Dans les tribunes ou certains badauds sont venus assister à la dernière touche en vue de préparer la première des deux rencontres devant opposer la sélection haïtienne à son homologue salvadorienne samedi au Stade Sylvio Cator, les discussions autour des causes du départ du Cubain et de ses conséquences vont bont train. Certains, la mine catastrophée, imputent la cause au
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