« Il est inconcevable que des étrangers puissent débarquer de cette manière-là dans un pays souverain pour impliquer qui ils veulent dans le trafic de la drogue », a protesté Guy Philippe sur une bande sonore préenregistrée, remise à la presse.
Le leader du Front pour la reconstruction nationale (FRN), qui sort de son silence, une semaine après la perquisition de sa résidence à Bergeau, aux Cayes, par des agents de la DEA et du Bureau de Lutte contre le Trafic des Stupéfiants (BLTS), nie son implication dans le trafic illicite de la drogue
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