Tes yeux à hauteur d'un baiser
Percent l'odeur de la ville interdite
Aux enfants de ta race.
Tu es tranquille
Dans ton lit,
Un milliard d'oiseaux
Sur tes épaules
Baignent dans la douceur fiévreuse
De ta chair.
O Valérie !
Aux yeux magiques du midi
Habités par la fidélité
D'un miroir solitaire
Dis-moi
Que ta poitrine n'est pas à vendre,
Car voilà au milieu de tes seins
Ma bouche qui dort en cerf-volant fatigué.
La rumeur de tes doigts
Suicide la lumière du pavé
Pour compter
Les gouttelettes sur ton front.
Ce matin
T
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