Au tournant des années 2000, la scène cinématographique haïtienne était, entre autres, en pleine mutation. Il régnait une sorte d’effervescence qui se voulait de vaincre le signe indien. Le Ciné Institute (ci-devant Artists Institute) venait d’être créé par David Belle. Richard Sénécal était passé par là et nous invitait à faire voler en éclats nos préjugés les plus abjects avec son Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous
