Lors de la deuxième représentation de la pièce au Centre culturel Pyepoudre, le public n’était pas très nombreux. En ces temps difficiles, il faut du courage pour organiser un festival dans une capitale à feu et à sang ; mais Daniel et toute l’équipe du festival Quatre Chemins persévèrent, et c’est une excellente chose.
L’art a encore sa raison d’être dans une ville majoritairement sous l’emprise de gangs arm&eacut
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