Dès le début du vernissage, l’atmosphère chaleureuse des petites salles enveloppe les visiteurs. La première impression est souvent la perplexité : au premier regard, les tableaux semblent danser loin de leurs titres. Mais, guidés par le peintre Philippe Dodard, les spectateurs se frayent un chemin dans le labyrinthe des couleurs et des formes. Peu à peu, s’éveille la pensée de Frankétienne, où spiritualité, syncrétisme religieux et
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