Comment le théâtre peut-il faire entendre les voix étouffées par l’histoire ? C’est le pari relevé par Eliézer Guérismé à travers sa carte blanche avec Mon bout du monde. « Ce n’est pas tant le rôle du professeur que j’ai voulu mettre en valeur, mais la blessure et la rage qui habitent ce personnage, face à cette perte intime et face à cette dette imposée à son pays », affirme Eliézer
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