Face à la situation catastrophique d’Haïti, il y a deux camps, deux attitudes, deux positionnements : les défaitistes, pessimistes de bon aloi et les indécrottables porteurs d’espoir, les optimistes attachés au renouveau national, au progrès collectif. Les uns croient au sauve-qui-peut individuel, les autres au primat du bien commun ou de l’intérêt général. Avec son livre-plaidoyer, obstinément soucieux d’introduire l’action tr
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