« Les femmes victimes le sont parce que l’État rend cela « normal » ; « il faut mettre les violeurs derrière les barreaux » ; « nous exigeons un système judiciaire à l’écoute des femmes ; nous nous tenons aux côtés des femmes et des filles victimes » ; « la force d’un bon système réside dans sa capacité à rendre justice », pouvait-on lire, en créole, sur des pancartes brandies
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