Il est 10 h 20. Dans les jardins de l’Akademi Kreyòl Ayisyen, le décor est planté. Les enfants, munis de drapeaux de l’institution et vêtus pour la plupart d’un t-shirts blancs à l’effigie de l’Académie, conversent avec leurs camarades. Pendant ce temps, un pianiste berce le public de ses notes. Jean Émile Paul, maître de cérémonie, rappelle le contexte du camp d’été, conçu pour accompagner les enfants victimes
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