Ma vie est encore un champ vierge.
Où est la charrue ? Où sont les graines
Et les folles promesses de l'été ?
Où sont les épines qui porteront
Les fleurs noires de ma vérité ?
Des forces monstrueuses crient en moi :
Où que je tourne la tête dans mon ciel
Je vois poindre un désespoir plus tenace
Que la fièvre qui brûle un grand savant
Jour et nuit penché sur des
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