La chronique des jours sans, des jours sang est tenue, les bandes armées signent d’autres conquêtes territoriales, incendient des lieux de vie, activent la bile, le flot de haine greffé sur des complexes et le mal-être de certains, prompts, dans la justification du pire, à brûler même les cendres de lieux de vie ayant valeur de patrimoine.
L’on se perd, s’étripe, se bouffe alors
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