Silence je tutoie la mer est un recueil en fragments, un carnet de tempêtes intérieures, un livre qui se lit à voix haute, à marée haute. André Fouad y déploie une parole traversée par l’oralité, le rythme, la musique des peuples en dérive. Poésie de l’exil, certes, mais aussi poésie de la résistance sensorielle, charnelle, sonore.
Il se dit, dès le premier poème, comme un reste, un rebut du rée
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