Les vivants sont tous morts mais ils ne le savent pas

Dans cet article exclusif pour Le Nouvelliste, le professeur Fortenel Thélusma, linguiste et didacticien du français langue étrangère (FLE), nous livre une lecture critique éclairée du tout dernier recueil de poèmes d’Edgard Gousse, intitulé Les vivants sont tous morts mais ils ne le savent pas. Paru aux Éditions Trois Amériques en 2025, ce recueil à la fois poignant, insolent et profondément lyrique, donne à entendre la voix d’un poète en pleine maîtrise de son art. À travers une analyse fine et sensible, Thélusma interroge le choc du titre, la densité des images et la portée existentielle d’une poésie qui flirte avec la mort, l’exil, la mémoire et la condition humaine.

Par Fortenel Thélusma, linguiste et didacticien du FLE

Voilà le titre choc, provocateur du dernier recueil de poèmes d’Edgard Gousse. Celui-ci est publié aux Éditions Trois Amériques, au troisième trimestre 2025. Paré d’une magnifique et impressionnante couverture au fond rose teinté de blanc, ce livre, d’une centaine de pages, est illustré par l’auteur lui-même. Edgard Gousse a plusieurs cordes dans son arc.

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