C’est le sentiment partagé à l’issue de trois jours de réflexion sur la dette de 1825, les 12, 13 et 14 juin, où, malgré une chaleur quasi caniculaire peu propice à l’introspection, Paris a vu le Collège de France drainer une audience studieuse et passionnée. Chercheurs et chercheuses venus d’Haïti, de la Caraïbe, des États-Unis, de France et d’Europe se sont réunis pour réfléchir et discuter de l’histoire
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