Frantzley Valbrun ouvre son poème sur une image de dérive intérieure, en associant le mouvement d’une danse à l’instabilité d’un monde en crise. Là où Baudelaire voyait dans la mer une projection grandiose de l’âme libre, Valbrun en fait le théâtre d’un vacillement, d’un combat contre l’incertitude. La mer n’est plus un miroir exaltant, mais un espace trouble où le sujet tangue, désorienté. Cette con
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous