Le Nouvelliste ( LN ) : Comment est né ce projet ?
James Fleurissaint ( JF ) : Ce projet est né d’une nécessité viscérale : répondre à l’étouffement. En Haïti, où le quotidien est traversé par des crises multiples, la poésie ne peut rester spectatrice. Elle doit être un espace de respiration et de rébellion. L’idée a germé dans des conversations avec des poète
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