Haïti pleure et part en lambeaux. Sa capitale, coupée du reste du territoire national, devient de plus en plus une ville ouverte occupée par la coalition Viv ansanm, laquelle étend progressivement son emprise sur d’autres régions du pays. Aucune force ne semble pouvoir la contenir, encore moins la démanteler. La Présidence à neuf têtes n’a que l’apparence du pouvoir et ses chefs n’ont ni l’étoffe ni le charisme nécessaires pour soule
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