L’éducation, victime silencieuse d’une insécurité bruyante
Ce mardi 18 mars, plusieurs écoles de la capitale ont pris la décision de fermer leurs portes jusqu'à nouvel ordre. La raison ? La progression alarmante des gangs armés de la coalition Viv Ansanm. Encore une fois, la peur supplante le droit à l’éducation. Mais plus qu’une mesure temporaire, cette fermeture est le symbole profond d’un pays qui ne parvient plus à pro
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