Sur le papier, le CPT et le PM Alix Didier Fils-Aimé dirigent un pays normal. Ils finalisent la mainmise sur l’État à travers une kyrielle de nominations et pensent, comme si cela relevait d’une urgence absolue, à faire de Thomassin et de Mare Rouge des communes. Occupés à régler leurs affaires, ils administrent jusqu’à l’overdose des promesses rances de rétablir la paix et la sécurité. En dépit de l’efficacité
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