C’est avec un cœur lourd et une douleur lancinante que je vous écris. Malgré la hauteur du désespoir à l’échelle de mon esprit, malgré le mauvais sang qui cavale dans mes artères et ankylose ces mains qui pianotent sur le clavier de mon ordinateur, j’aimerais tirer du fin fond de moi des mots pour vous dire ce qui me pèse sur le cœur.
Votre Majesté, notre Haïti souffre. L’espoir que vous avez forgé par le sabre et d
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous