Abou Mohammad al-Jolani, le chef islamiste de la coalition rebelle à l'origine d'une offensive fulgurante en Syrie qui a provoqué selon ses combattants la chute dimanche du président Bachar al-Assad, est passé d'un vocabulaire fondamentaliste à une parole qui se veut modérée pour parvenir à ses fins.
Le leader de Hayat Tahrir al-Sham (HTS), ex-branche d'al-Qaïda en Syrie, s'était fixé comme objectif de renverser le président
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