« Pèdi kontwòl » d’Oswald et de Steves J. Bryan, une esthétique de la légèreté

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil », aurait dit le philosophe allemand Friedrich Nietzsche (1844-1900), grand mélomane de son état. Donc, ce n’est pas sans raison qu’Oswald et Steves J. Bryan ont mis soin à produire « Pèdi kontwòl ». C’est parce qu’ils sont conscients du pouvoir de la musique à la fois comme refuge et échappatoire. Refuge dans un pays en perte de repère, échappatoire puisqu’il faut trouver un moyen de s’évader.

Zafèm a produit un album remarquable : « Lalin ak Solèy (LAS) ». La réhabilitation des sons de base du compas direct et de ses instruments clés comme le saxophone a séduit nombre de mélomanes. Réginald Cangé et Dener Céide ont su accoucher des textes riches en images et en poésie qui ont retenu l’attention du public. Tandis que Medjy n’a pas fait pareil avec son album 48 Rebecca. Certains de ses morceaux gardent les sons d

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