Il est devenu une habitude de constater que des diplomates étrangers, surtout dans leur discours d’adieu, disent, sans diplomatie, ce qu’ils pensent d’Haïti et de ses dirigeants. Dans notre histoire récente, c’est le diplomate américain, Brian Dean Curran, en juillet 2003, qui ouvrait cette fenêtre dans les relations entre Haïti et ses ''amis''.
Dans son discours d'adieu, le diplomate américain, qui s'était impliqué
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