En raison du contrôle des gangs armés, qui dominent plus de 80 % de Port-au-Prince et ses axes routiers vers les provinces, l’économie haïtienne suffoque. Les routes bloquées, l’opacité des échanges commerciaux et la hausse vertigineuse des prix des produits de première nécessité exacerbent une crise alimentaire déjà critique. Cette situation affecte directement les marchands du secteur informel, colonne vertébrale de l’éco
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