Avec le Premier ministre Didier Fils-Aimé, le pays entame l'acte 3 de la transition post-Jovenel Moïse. Les actes 1 et 2 conduits respectivement par les Drs Ariel Henry et Garry Conille se résument en perte de temps, d'énergie, d'argent et une explosion de la violence. L'agrandissement des espaces occupés par les gangs dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince et dans certaines villes de province illustre l'échec de l'administration Henry et de celle CPT/Conill
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