« Haïti est un pays fragile, en conflit et violent (FCV) », aux yeux de la Banque mondiale

Le Nouvelliste a cherché à savoir la manière dont la Banque mondiale qualifie la situation haïtienne. Lors de son interview avec le journal, Anne-Lucie Lefebvre, cheffe des opérations de la Banque mondiale en Haïti, a levé le voile sur cette qualification.

« Haïti est un cas particulier, un cas d'école. Il y a plusieurs dimensions à la crise haïtienne mais si l'on regarde la politique de la Banque mondiale, il est clair que vu l’impact sur la population vous avez tous les symptômes d’un pays en guerre civile », a soutenu la cheffe des opérations de la Banque mondiale en Haïti, à la question de savoir s’il fallait qualifier la situation en Haïti de rébellion, de mouvement de lib&e

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