Voltaire et Conille se jettent des pierres dans leurs jardins respectifs sans se rendre compte qu’ils font des moulinets dans le vide. Le premier réclame l’exclusivité de la conduite de la diplomatie et exige sans relâche la tête de la ministre des Affaires étrangères ou un remaniement ministériel en évoquant des articles de la Constitution; le second fait barrage en lui opposant d’autres articles de cette même Constitution alors qu’ils n’ont rien à voir avec celle-ci qui, du reste, est dormante
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous