Le pays épuise depuis quelques années toutes les formes possibles de gouvernance. Et cela ne va pas changer en ce mois d’octobre 2024 où certains se voient président, ministre et autres. Il y en a qui cherchent à sauver leur tête pendant que beaucoup verraient bien leur tête à la tête du pays.
Ce mois d’octobre s’annonce comme un résumé banal de l’histoire de nos transitions.
Après le président
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