A quelques jours de la rentrée scolaire fixée au 1er octobre, les responsables au plus haut niveau de l’Etat semblent vouloir tout mettre en œuvre pour rendre effective la reprise des cours dans les écoles publiques, transformées en camps de déplacés depuis l'année dernière. Selon les informations recueillies par le journal, les réfugiés qui occupent les écoles publiques devraient vider les lieux d’ici la fin du mois de septembre. <
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