Je me baigne dans le fleuve immense et tendre, celui de la poésie dès que je pose mes valises, dès que je courtise les êtres et les choses, toute la flore montréalaise (au printemps ou en hiver). Toujours en transe. En ébullition. En mode création permanente. On dirait que je suis chevauché par les dieux ou les déesses, les forces de l'invisible en provenance des tribus yorubas, mandingues, dahoméenne, amérindiennes, égyptiennes.
C'est
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