Ganthier un mois après l’attaque des bandits vu par un Ganthierois

Ville désertée.

Ville désertée. C’est le portrait apocalyptique qu’a dressé Leo D. Pizo Bien-Aimé, ancien résident de la commune de Ganthier, plus d’un mois après l’invasion brutale des bandits du gang « 400 mawozo ». Sur Magik 9 ce vendredi 23 août, cet ancien résident de cette commune située à 12 kilomètres de Port-au-Prince a qualifié ce climat de terreur de ʺviolence politique et criminelleʺ.

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous

Lire aussi