Bon Repos: subir la loi des gangs pour survivre

Bien avant le 29 février 2024 date à laquelle les gangs de la coalition “Viv ansanm” ont craché le feu de l’enfer sur la population civile de la zone métropolitaine de Port-au-Prince, il y avait une faible présence de l’État à Bon Repos.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
11 juin 2024 | Lecture : 2 min.

Bien avant le 29 février 2024 date à laquelle les gangs de la coalition “Viv ansanm” ont craché le feu de l’enfer sur la population civile de la zone métropolitaine de Port-au-Prince, il y avait une faible présence de l’État à Bon Repos. Après l’attaque armée contre le sous-commissariat qui s’est soldée par la mort d’au moins quatre policiers, toute la zone est livrée aux bandits. Ils imposent leurs volonté

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