Selon Me Frédo Jean Charles, les rapports actuels des organismes de défense des droits humains et des organisations internationales ne reflètent pas la réalité sur le terrain. « Il y a beaucoup de cas de violence qui ne sont pas documentés dans les quartiers populaires. Certaines victimes n’osent même pas signaler les cas de violence à cause de leur proximité avec les agresseurs », a-t-il déclaré sur Magik 9 le mardi 4 juin 2024.
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous