« Si le gouvernement canadien avait consulté des représentants haïtiens et dominicains, on leur aurait dit très clairement que ça ne fonctionnerait jamais. On a appris cette nouvelle par voie de presse », dit à La Presse une source haïtienne haut placée qui a requis l’anonymat, n’étant pas autorisée à s’exprimer dans les médias.
Le signal discordant de la République dominicaine –