À Port-au-Prince, les séquelles de la guerre des gangs contre la population sont visibles. Des os décharnés et desséchés de cadavres jonchent les rues. Le centre-ville vacille tantôt sous le sifflement des balles, tantôt s'endort dans un silence de cimetière. Les riverains abandonnent des quartiers entiers. Dans certains secteurs, les ruines de bâtiments rasés par des flammes, après plusieurs incendies déclenchés par les bandits, donnent
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