Guy Philippe, ancien sénateur élu dans le département de la Grand’Anse en 2016 et ancien policier qui avait pris la tête d’une rébellion armée contre Jean-Bertrand Aristide, rejette d’un revers de main l’accord de la Caricom prévoyant la mise en place d’un Conseil présidentiel de sept membres pour conduire la transition et réaliser des élections.
L’ancien condamné pour blanchiment de l’argent de la drogue aux États-Unis qui n’a pas caché ses intentions de prendre les rênes d’Haïti pour une transition de sortie de crise, estime
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