Impossible pour le Premier ministre Ariel Henry de retourner en Haïti plusieurs jours après la fin de sa visite au Kenya. Si officiellement, le chef du gouvernement n’a pas d’interdiction d’entrer au pays, les gangs armés qui sèment la terreur en Haïti depuis le 29 février, forcent les compagnies aériennes et les avions privés à annuler tous leurs vols jusqu’à nouvel ordre. Plusieurs sources gouvernementales qui se sont confiées, mardi, au Nouvelliste affirment que le Premier ministre était en transit dans un premier temps aux États-Unis