Ralentissement des activités scolaires : gouvernement incapable, opposition insouciante 

« Nous sommes aujourd’hui 20 février, mon fils n’a pu se rendre à l’école que trois jours pour ce mois à cause des mouvements de protestation et des agissements des gangs armés », se plaint un parent vivant dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince.

Robenson Geffrard
Par Robenson Geffrard
20 févr. 2024 | Lecture : 4 min.

« Nous sommes aujourd’hui 20 février, mon fils n’a pu se rendre à l’école que trois jours pour ce mois à cause des mouvements de protestation et des agissements des gangs armés », se plaint un parent vivant dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. C’est la même situation pour des milliers d’élèves dans le pays. L’école fonctionne au rythme des agissements des groupes armés et des mouvements de protestation

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