« Nous sommes aujourd’hui 20 février, mon fils n’a pu se rendre à l’école que trois jours pour ce mois à cause des mouvements de protestation et des agissements des gangs armés », se plaint un parent vivant dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince. C’est la même situation pour des milliers d’élèves dans le pays. L’école fonctionne au rythme des agissements des groupes armés et des mouvements de protestation