« Je n’arrive plus à respirer », la ville du Cap-Haïtien emprunte les derniers mots de George Floyd avant de mourir pour appeler au secours. Mais cette fois, ce n’est pas l’acte d’un étranger. Il ne s’agit pas de discrimination. Plaquée au sol, ce ne sont pas seulement les genoux des immondices qui étouffent cette ville dont les habitants sont si chauvins. Les déchets, c’est partout. La bouche, le cou, le nez, toute la ville porte le
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